Jacqueline Guillau, formée à l'iconographie byzantine, vit et travaille à Saint-Etienne (Loire).
Lorsqu'elle était étudiante à l'Institut d'art visuel à Orléans, Jacqueline a commencé à peindre des icônes avec une ancienne élève du Père Georges DROBOT, maître iconographe russe orthodoxe (1925 - 2011).
Elle a été enseignée ensuite à l'atelier St. Georges à Meudon animé par Père Egon SENDLER sj.
A la fin des années 2000, retrouvant à nouveau l'école du Père Georges DROBOT par son ancienne élève Marie-Cécile FROMENT, Jacqueline a suivi avec celle-ci de nombreux cours et stages. Elle a ouvert son atelier à Saint-Etienne en 2012.
Jacqueline Guillau donne des cours de peinture d'icône et réalise des œuvres sur commande, des icônes ainsi que des objets d'art sacré sur modèle du Moyen Âge.
Les cours réguliers et les stages transmettent l'enseignement qu'elle a reçu par les élèves du Père Georges DROBOT, en particulier de la part de Marie-Cécile FROMENT.
Qu'est-ce qu'une icône?
Une icône est l'image d'une personne qui est dans l’éternité divine: le Christ Jésus, la Vierge Marie, les anges et les saints.
Sa représentation est faite selon les principes de spiritualité et d’esthétique qui se sont formés au Moyen-Orient et à Byzance et depuis les premiers siècles du Christianisme jusqu’au Moyen-Âge.
Toute représentation sacrée au Moyen-Âge est une icône, mais celle-ci s’est ensuite limitée aux images peintes sur des planchettes de bois.
Par sa ressemblance l’icône rend présente la personne représentée ; « l’honneur rendu à une image remonte au modèle original » dont elle permet « de se souvenir » (St. Basile, Traité du Saint-Esprit).
L’iconographie ancienne n’est pas étrangère à notre culture occidentale ; au contraire, ses règles de composition et d’exécution ont été communes jusqu’au Moyen-Âge grâce à un échange intense entre l’Orient et l’Occident, et elles subsistent encore aujourd’hui dans l’art sacré.
L’art de l’icône se transmet de génération en génération et de personne à personne depuis les premiers temps du Christianisme jusqu’à aujourd’hui.
Sa représentation est faite selon les principes de spiritualité et d’esthétique qui se sont formés au Moyen-Orient et à Byzance et depuis les premiers siècles du Christianisme jusqu’au Moyen-Âge.
Toute représentation sacrée au Moyen-Âge est une icône, mais celle-ci s’est ensuite limitée aux images peintes sur des planchettes de bois.
Par sa ressemblance l’icône rend présente la personne représentée ; « l’honneur rendu à une image remonte au modèle original » dont elle permet « de se souvenir » (St. Basile, Traité du Saint-Esprit).
L’art de l’icône se transmet de génération en génération et de personne à personne depuis les premiers temps du Christianisme jusqu’à aujourd’hui.
Etude de drapés
N° de Siret : 539 561 274 00033
Chambre des métiers N° 539 561 274 RM 42